Nisan 20, 2024

Poker

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Dildo

Bonjour, l’histoire courte que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l’agression sexuelle et le viol. Elle colle à la réalité, bien qu’elle ne soit que fiction, elle pourrait être vrai. Donc si vous n’aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n’aimerez vraiment pas. Pour les autres, j’espère qu’elle vous plaira. Bonne lecture.

Je me prénomme Lisa. J’ai dix-huit ans. Je ne suis pas très grande, plutôt frêle et menue. Mais comme ma mère, j’ai une petite poitrine, des bonnets A, qui semblent bien adaptée à mon corps. J’ai les cheveux noirs brillants, longs et raides, on me demande souvent si j’aime les mangas ou le Japon parce que mon style s’en rapproche.

Bien que l’on me disent très belle, je suis complexée, parce que je suis petite, un mètre cinquante pour quarante kilos. Mais aussi parce qu’à dix-huit ans, j’ai encore une poitrine d’adolescente. De petits seins en cônes, avec d’épaisse aréoles brune et de petits tétons bruns également. On se moque de moi. Les garçons au lycée, les filles aussi… mais les hommes mature… les hommes mature, eux, me regardent autrement. Pas comme une jeune femme trop plate, mais comme une femme-enfant à convoiter. Ça me gêne pas mal. Je me sens comme un objet, car je ne lis que désir dépravé dans leurs yeux.

Mes parents sont divorcés. Je suis chez mon père pour les vacances, l’été de mes dix-huit ans. J’ai fêté ma majorité la semaine dernière, en tête-à-tête avec lui. Il habite près de la plage. Je suis très pudique, je ne mets que des maillots une pièce qui ne dévoilent rien de mon corps. Pourtant, j’ai un beau petit cul, une magnifique chute de reins. Mais je suis vierge, je manque de confiance en moi. Je n’ai pas d’amies, je passe mon temps à étudier.

Ce soir, mon père a invité cinq copains, pour jouer aux cartes. Quand je dis copains… je ne les aient jamais vu avant, je pense que c’est plus des copains de jeux. Je sais qu’ils jouent au poker, même si mon père me dit le contraire. Ils parient de l’argent, parfois beaucoup d’argent.

Je n’aime pas quand ils viennent jouer aux cartes, parce qu’ils boivent et fument beaucoup. Ils parlent fort aussi, cela m’empêche de préparer l’année prochaine, ma rentrée à l’université. Je vais faire médecine. M’occuper des enfants. Pédiatre ou psychologue, je ne sais pas encore.

Leur partie de cartes, c’est toujours du sérieux. Même si je n’ai jamais vu cela. Ils jouent des grosses sommes. Il m’a demandé de l’aider, de m’occuper de l’intendance. Je n’aime pas trop faire cela d’habitude, mais il m’a promit un ordi dernier cri si je l’aide. Ma mère, avec son faible salaire ne peut me le payer, alors j’accepte.

Ce soir là, mon père perd, il perd beaucoup, énormément même. Adieu mon bel ordi. Mais je suis une bonne fille, je continue le service.

Moi, je leur sers à boire quand ils veulent boire. Il fait chaud, pour me cacher de ces hommes, j’ai mis un soutien-gorge de sport et une longue robe de nuit légère. D’habitude je ne mets jamais de soutien-gorge, Escort Bahçeşehir mais les amis de mon père, je les connais quand ils sont alcoolisé avec leurs remarques graveleuses. Mais même si eux, c’est des nouveaux, rien ne change. Hélas, je peux sentir leurs yeux, lorgnant sur mon corps de femme-enfant. Sur mes seins surtout, sur mes fesses.

À un moment, l’un des gars à effleuré mes seins avec son bras.

Alors que la soirée avance, l’alcool aidant, leurs regard est de plus en plus évident.

Vers minuit, je me suis endormie dans la pièce à côté, qui sert de petite salle télé, sur le canapé. Mon père a déjà perdu beaucoup d’argent. Il n’a plus assez pour rembourser.

Et quand on doit de l’argent, il n’y a plus de « copains ».

Tout le monde a beaucoup trop bu. Les cinq potes sont en colère, ils veulent être immédiatement payés. Je me suis réveillée car ils crient tous, et j’entends « rends-nous notre argent. ».

J’ai vu un des hommes frapper mon père. « Paie-nous, ou trouve un autre moyen de nous payer!! » a dit un des hommes, le plus virulent, le meneur.

Je me suis levée d’un bond, je suis allez dans la salle où ils jouent. Je me mets près de mon père, car il est au sol, se tenant le visage avec le nez en sang. Je sens alors qu’ils me regardent tous. Il n’y a plus un bruit. Mon père m’a regardé.

Il y a du désespoir dans ses yeux, il semble résigné. « Je ne peux pas payer » dit-il en regardant les cinq hommes.

Les autres ont pris cela comme un signe. Ils se tournent tous vers moi. Je n’ai pas compris tout de suite ce qu’il se passe…

Avant que je réfléchisse, ils sont sur moi. Il y a une avalanche de bras et de mains qui me saisissent. Je suis minuscule, à côté d’eux. Ils me soulèvent dans les airs, ils arrachent ma robe de nuit et mon soutien-gorge. Je crie, je me débats mais ils sont trop forts, trop nombreux…

Je vois leurs yeux sur mes seins, pas très gros mais qui leurs conviennent parfaitement. Je cache mon corps comme je peux, et ça les fait rire. Ils me dévorent tous des yeux. Ils grognent, comme des animaux. On me palpent, on tirent, on pincent, on mords mes seins, je pleure, je supplie, en vain…

Je sens qu’on attrape mes cheveux, violemment, je suis attirée et tirée vers une entrejambe, où je vois une énorme queue bondir, pour violemment entrer dans ma bouche tandis que l’homme contrôle ma tête comme une marionnette. Je n’ai fais cela que deux fois, avec mon ex-copain. Le goût du pénis dans ma bouche est infect, dégueulasse.

Je suce sans réfléchir, tout va si vite, trop vite. La grosse queue dilate douloureusement ma bouche, je pense que mes lèvres vont se déchirer. Je crie, ma le sexe de mon agresseur fait office de bâillon.

D’autres mains écartent mes jambes. Des doigts caressent mon anus et ma chatte. Je sens que l’on écartent mon sexe, j’entends :

– La conne elle est vierge! Ben pour une première elle va voir passer cinq belle queue pour elle, la chanceuse!

La remarque fait rire les hommes. Je suis humiliée, pourquoi Bahçeşehir Escort Bayan me font-ils cela?

L’homme que je suce m’a lâchée, je peux alors retirer ma tête. Je me suis mise à pleurer encore plus fort, à cet instant j’espère encore qu’ils vont me laisser tranquille. Que ce n’est qu’un jeu, une punition pour mon père, pour le faire payer.

Mais je me trompe, je me trompe lourdement. Je vois une ombre géante venir derrière moi, m’attraper les hanches pour me soulever, me mettre sur la table, à plat ventre. Je tente de me relever, mais on m’appuie sur le dos, on me maintient les bras au-dessus de ma tête. J’ai mal, je supplies, ils ne me répondent pas.

C’est alors que je sens quelque chose d’énorme me poignarder entre les fesses, je sens que j’ai le ventre qui gonfle. L’énorme truc sans fin s’enfonce en moi comme un manche à balai. J’ai l’impression qu’on va me tuer là, tant la douleur est forte. L’un des hommes me sodomise avec une violence extrême, pour ne pas dire barbare. Il me viole comme si mon petit trou était habitué à cela, alors que jusque à présent, il était totalement vierge.

Je hurle comme une folle, j’ai l’impression qu’un tisonnier est enfoncé dans mes entrailles, je m’accroche à la table, pendant que les autres sont autour, à rire, et à me regarder. Comment peut-on prendre de plaisir à voir autant de souffrances? À voir autant de violence? Mon violeur anal tape son sexe en moi, s’enfonçant toujours un peu plus, écrasant mon corps sur la table, mes seins aussi.

Il s’est retiré, et avant que je ne reprenne mon souffle, un deuxième est venu prendre sa place. « Oh quel cul! » ai-je entendu, quand il est venu m’enculer férocement, s’enfonçant en entier, d’un seul coup, tapant ses couilles contre ma chatte.

Des larmes de douleur coulent sur mon visage, je ne vois plus rien. Je vomis, je bave, je morve. Un autre a rapproché ma tête du bord de la table pour enfoncer sa queue dans ma bouche. Évitant la flaque de vomi au sol. « Ça la fera taire un petit peu » ai-je entendu.

Un troisième homme remplace celui qui m’encule, mais celui-ci a enfoncé son pieu dans ma chatte, me déchirant atrocement, je hurle plus fort. Lui il me fait saigner. Je ne suis plus vierge, mais je n’ai pas la tête à penser à ça. Je suis atrocement violée et je ne pense plus qu’à une seule chose, que ça s’arrête.

Je peux sentir la queue glisser en et dehors mon vagin, le dilatant à son maximum. Je ne peux plus hurler, avec la queue dans ma bouche. Quand il se retire, un autre prend immédiatement sa place.

J’ai pu sentir les cinq queues entrer et sortir de ma chatte et de mon anus. Ma bouche est endolorie par toutes ces bites. Je ne suis plus humaine, je ne suis plus une femme, je ne suis plus qu’un sexe, un trou-du-cul, une bouche où enfournée des bites. Pour se faire du bien, à eux. Mais moi… à moi…

Ils rient comme des bêtes. Se congratulent. Se félicitent. S’encouragent aussi. Poussant celui qui est en moi à y aller plus fort, plus méchamment. Mes fesses sont claquées, mordues. Bahçeşehir Escort Mes seins massacrés par des doigts brutaux. Tous se sont vidés dans ma bouche, mon sexe, mon anus. Mes orifices du bas dégorgent d’une quantité incroyable de sperme. De sang aussi. Je suis déchirée, fissurée.

Je pense qu’ils en ont fini, mais un des hommes me prend pour m’emmener sur le canapé. « Ce sera plus confortable » a-t-il dit en me couchant sur le dos. De suite après, il me pénètre, me violant de nouveau, une seule éjaculation ne suffit donc pas? Il m’écrase de tout son poids, je suis étouffée et effacée. J’ai la tête sur son torse, et je hurle. Encore plus fort que la première fois, car mon sexe maintes fois déchirés me fait encore plus mal.

Je peux savoir la taille des cinq hommes, rien qu’à la position qu’a ma tête sur leur torse, quand ils sont tous passé sur moi. Une fois sur la poitrine velue, une fois sur le ventre, une fois dans le cou…

Mes jambes restent ouvertes pour eux. Parfois, je suis soulevée un peu plus pour être enculée. Là c’est encore pire, les fissures sont vraiment nombreuses, la douleur me fait hurler à la mort. Ma gorge me brûle atrocement. Je ne suis plus que douleur.

Ils m’assassinent de leurs bites. Ils ne savent donc pas que pour une femme, vierge de surcroît, un viol est encore pire que la mort? Il s’imagine quoi? Que comme dans ces histoires érotiques, ou dans les films X, je vais prendre du plaisir? Que je vais en redemander? Non, c’est un viol, on ne prend aucun plaisir dans un viol, jamais, sauf dans le fantasme des hommes, pour se donner bonne conscience. Mais le viol c’est juste un meurtre, avec une bite à la place d’une arme. On ne s’en relève jamais!

J’ai quand même pu tourner la tête pour voir mon père. Il est recroquevillé dans un coin sombre de la pièce, pleurant, se cachant le visage, ne voulant pas voir ce qui m’arrive.

Il laisse faire…

A un certain moment, je me retrouve sur le ventre d’un des hommes, empalée, hurlant ma douleur. Il me serre contre lui, me baisant sauvagement. Quand un autre vient derrière, ouvrant mes fesses.

Je veux m’évanouir quand il m’encule, mais je reste bien éveillée, à supporter deux grosses queues dans mon corps encore vierge juste avant. Une autre queue vient me faire taire en s’enfonçant dans ma bouche, au fond de ma gorge, me faisant vomir en même temps qu’il torture ma bouche. M’obligeant à tout ravaler, tant le sexe violeur fait comme un bouchon totalement hermétique.

Mon agression continue, des heures durant. Ils jouissent sur mon visage, me mordent les seins, l’un d’eux saigne. Ils me pissent dessus, me font boire leurs urine. Ils me torturent, et ils aiment ça. Des clopes me brûle la poitrine, le ventre, l’entre-cuisse. Je ne suis plus qu’un pantin, je ne peux plus hurler, je peux juste subir. Je suis une esclave, leurs esclave.

Tout s’arrête vers neuf heures du matin. Ils se sont arrêtés, laissant mon corps remplis de sperme, de sang, usé et brûlant, les orifices grands ouverts. Je crois que mon anus ne pourra jamais plus se refermer. Mon vagin non plus.

Je ne peux plus bouger.

Quand ils sont parti, se félicitant, je vois mon père se relever. Il s’approche de moi, tenant une bière dans la main. Il l’a bue en une fois.

Je pense qu’il va m’aider à me relever, à me laver, à m’apaiser.

Au lieu de cela il s’est mis entre mes jambes…

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