Mart 29, 2024

Les Jumeaux Croisés 06

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Ebony

A toutes fins utiles, le présent chapitre n’implique que des majeurs de plus de 18 ans et consentants.

Chapitre 6 : L’Explosion

Bien qu’ils soient rentrés de bonne heure le vendredi, Cécile et Jean trouvèrent le domicile familial déserté par la jeune génération. Cécile , très mère poule, en eut un petit pincement au cœur mais Jean qui la suivait de près colla son bas-ventre à ses fesses pour lui faire apprécier une érection conséquente et sa femme décida de noyer son inquiétude dans le stupre le plus éhonté!

Dès 13h, Lucie avait klaxonné devant la maison et les jumeaux s’étaient précipités à sa rencontre ; Loïc trainant un sac à dos uniquement destiné à donner le change à ses parents alors que sa sœur , à l’image de Lucie, se contentait d’un baise-en-ville bien rempli puisqu’elle ramenait les sex toys de son amie.

Loïc était particulièrement excité. Comme promis, Léa l’avait fait jouir la veille au matin mais depuis s’était refusée à lui et lui avait même interdit de se masturber. Pour évacuer la tension, il avait pris sa bicyclette et s’était lancé dans une longue randonnée mais les images et surtout les paroles de Léa le matin même avaient rendu le pédalage par moments assez difficile. Il faut dire qu’elle lui avait sorti le grand jeu. Elle l’avait fait se coucher sur son lit puis s’était assise sur son bassin, disposant les grandes lèvres de sa vulve sur sa verge bien raide et avait commencé à se caresser le bouton tout en incitant son frère à s’occuper de ses seins fièrement dressés. Loïc sentait sa verge devenir toute humide au fur et à mesure que les sécrétions de Léa l’inondaient. Mais le plus excitant, c’était son discours :

« Demain mon gros loup, demain tu vas faire de moi ta femme! Ta grosse bite va me fendre et tu vas prendre ma virginité … aah c’est bon! … Puis tu vas lentement t’enfoncer dans mon petit con tout neuf et tu vas …aaah … l’élargir monstrueusement avec ton énorme queue, comme tu l’aaaah fait avec mon petit cul. Mais uuuuhhh , ce sera aaah meilleur parce que je mouillerai comme une folle ; encore plus que je te mouille maintenant! Et quand tu seras complètement enfoncé en moi, tu commenceras à bouger et tu me feras l’amour comme nous en rêvons tous les deux et … ooooh , je vais jouir … et tu me baiseras de plus en plus fort et tu jouiras en moi … aaaaaahhhh … et je viens mon chéri, je jouis, JE JOUIS!!! »

Loïc avait senti la mouille de sa sœur recouvrir presque toute sa verge dont seul le gland violacé émergeait. Le spectacle de son beau visage contorsionné par le plaisir et les soubresauts spasmodiques de ses hanches qui se réverbéraient sur son sexe furent de trop pour lui. Il commença à éjaculer son trop plein de foutre avec tant de vigueur qu’il aspergea non seulement sa poitrine mais même son menton tandis qu’il soulevait sa sœur du lit à la seule force de ses reins tout en lui broyant les seins! Léa encore haletante avait étalé le sperme du garçon sur son torse poilu sauf la grosse traînée sur son menton qu’elle poussa dans la bouche de son frère qui fit une mine dégoûtée

« Quoi » lui dit-elle « je l’avale bien moi et toi tu fais la fine bouche? »

Elle se releva en riant de la mine déconfite de son jumeau et courut s’habiller avant qu’il n’ait le temps de trouver une répartie.

Léa avait ensuite appelé une des rares filles avec qui elle s’entendait bien, Tahira. Bien que les parents de celle-ci ne voient pas d’un bon œil leur fille se promener avec une non-musulmane, ils considéraient Léa comme une escorte acceptable sachant qu’elle avait la réputation de ne pas courir les garçons. Elles avaient convenu d’aller faire du shopping à Euralille tout l’après-midi, ce qui permettait à Léa de ne pas rester au contact de Loïc et de lui éviter toute tentation.

Mais l’heure H du jour J était enfin arrivée! Restait à attendre la minute M qui semblait encore bien lointaine au mâle en chaleur qui rongeait son frein pendant que Lucie les amenait chez elle tout en devisant gaiement avec Léa. Elle finit — enfin – par se garer devant une maison ouvrière devant laquelle les attendait une femme plus boulotte et un peu plus grande que Lucie. Elle portait une légère robe longue qui mettait en valeur ses hanches et ses seins tout en masquant assez bien le ventre sans doute proéminent.

« Ce doit être Françoise » se dit le garçon . « A priori, ce n’est pas Lucie et certainement pas Léa mais dans l’état où je suis, je pourrais baiser une guenon centenaire »

En s’approchant, il s’aperçut que la guenon ne manquait cependant pas d’un certain charme malgré ses formes rubéniennes. Elle embrassa Lucie puis Léa sans trop de formalités puis, rougissant comme une collégienne, elle se dressa sur la pointe des pieds pour embrasser Loïc sur la joue, son ventre rebondi se frottant au passage sur le sexe érigé du garçon. Lucie les fit tous entrer et donna immédiatement le ton en enlevant son chemisier dévoilant un soutien-gorge à demi-bonnets qui découvrait deux tétons bien érigés.

« Ouh! il fait chaud ici! Qui veut bursa escort boire quoi? »

Les jumeaux optèrent prudemment pour des jus d’orange tandis que les aînées , sans doute plus nerveuses, préféraient un doigt de whisky. Après avoir bu son verre d’un trait, Lucie fit se lever Françoise face à Loïc et la débarrassa de sa robe. Françoise était rouge comme une pivoine sous le regard inquisiteur du garçon . Elle portait un soutien-gorge impressionnant qui peinait à contenir des seins comme des ballons de hand ball et une curieuse bande de tissu autour du ventre, un peu comme certaines femmes enceintes . « Elle préfère sans doute masquer son ventre » se dit le jeune homme. Par contre, elle n’avait pas cru bon de mettre une culotte et il voyait distinctement les grosses lèvres en relief qui émergeaient d’un buisson roux clair . Lucie s’escrima pour détacher l’attache du soutien qui rejoignit la robe à terre. . Loïc écarquilla les yeux. Il s’attendait bien à voir de gros seins pas trop fermes mais il était fasciné par les énormes mamelons qui mangeaient presque la moitié de la surface des mamelles. Lucie en avait de taille normale ; ceux de Léa étaient nettement plus grands mais dans le cas de Françoise, ils étaient à peine plus petits qu’un DVD.

Léa ne voulut pas en être en reste et se dirigea vers son frère assis dans un fauteuil. Elle lui arracha son T-shirt, exhibant ses larges épaules et ses pectoraux bien dessinés puis, se mettant à genoux, s’escrima lui ôter son jeans sous lequel le coquin ne portait pas de caleçon! La verge de mammouth surgit tout de suite à la verticale et Françoise poussa une exclamation de surprise ravie

« Qu’il est beau! »

Elle se dégagea des bras de Lucie et se laissa tomber à genoux devant Loïc et engouffra la grosse bite. Admirative, Léa s’aperçut qu’elle parvenait à mettre en bouche près de la moitié du membre de son frère

« Elle doit en avoir jusqu’à la glotte » pensa-t’elle

Loïc était ravi de la performance de sa nouvelle partenaire qui poussait de petits grognements de contentement en suçant le monumental cornet . Au moment où le garçon allait l’arrêter pour éviter de jouir trop vite, Françoise arrêta sa fellation et demanda à la cantonade

« On irait pas dans ta chambre Lulu? Ton lit est quand même plus confortable! »

Lucie mena la cavalcade vers sa chambre à l’étage , suivie de Léa qui était la seule à être toujours habillée et de Françoise qui traînait derrière elle Loïc qu’elle tenait fermement par la verge. Le lit était déjà ouvert et Françoise fit s’allonger Loïc avant de lui sauter dessus. Elle se mit immédiatement en position pour chevaucher le garçon, guidant la verge vers son antre de félicité. Loïc en profita pour soupeser ses seins, explorant les généreux mamelons qui le fascinaient tant.

Françoise s’empala lentement sur le garçon en gémissant

« Qu’il est gros! Oh que ça fait du bien! Il me remplit le con , c”est bon, si bon! » Et d’un geste décidé, elle se laissa tomber sur le bassin masculin mêlant sa toison rousse aux poils de son amant. Lucie, un peu jalouse dit à Léa qu’elle avait enlacé à côté du lit

« Tu as vu? cette salope en chaleur a pu le prendre en entier »

L’adolescente ressentait également un brin de jalousie, se demandant si elle serait capable d’en faire autant et si son frère ne préfèrerait pas ce vagin à sa taille plutôt que celui inexpérimenté d’une vierge.

Mais Françoise, malgré sa parfaite adéquation aux dimensions de son partenaire ne parvint à le prendre que deux fois avant de hurler

« C’est trop bon! Cette bite d’âne me fait jouiiiiiiiir! »

Elle posa ses mains sur le torse du garçon et jouit convulsivement, toutes ses courbes agitées de vagues de chair qui impressionnèrent son partenaire.

Mais cette femme mûre avait de solides ressources car elle se redressa rapidement et recommença à s’empaler sur la verge de Loïc en ahanant. Lucie souffla à Léa

« Fait le tour et tête sa mamelle gauche ; je m’occupe de la droite »

Et les deux complices se ruèrent sur leur proie , tenant chacune un des lourds seins à deux mains tandis que leurs bouches avides suçaient et mordillaient les tétons de Françoise qui pressa les deux têtes sur ses mamelles.

Loïc, très excité à la vue de ses deux amantes qui contribuaient au plaisir de sa partenaire, réussit à contrer les attaques de Françoise et propulsa sa verge à la rencontre du vagin qui l’accueillait, parvenant même à soulever l’imposante walkyrie qui le chevauchait . Il débordait d’envie de se laisser aller mais il avait bien retenu les leçons de son initiatrice et se contint. Françoise par contre n’en pouvait plus et hurla à nouveau son plaisir

« C’est trop! Vous me faites mourir! AAAHHH JE JOUIS ENCORE! » Léa et Lucie la soutinrent tandis qu’un deuxième orgasme la ravageait. Elle semblait anéantie mais son amant, lui, brûlait d’un désir inassouvi et se plaignit à la maîtresse des lieux

« Et moi? »

Lucie lui sourit et posa un oreiller sur le lit à côté du couple et, avec l’aide bursa escort bayan de Léa, obligea Françoise à se déplacer, le ventre en avant de l’oreiller. Loïc comprit immédiatement ses intentions et vint se positionner entre les jambes ouvertes . Il oublia la cellulite sur les cuisses pour fixer son regard sur le sexe de Françoise et, tenant son phallus en main, il le dirigea entre les grandes lèvres de la vulve béante et donna un grand coup de reins.

« AAAAHHHH » hurla à nouveau Françoise « IL EST ENCORE PLUS GROS! QUEL PIED! »

Cette fois, Loïc était bien décidé à laisser tomber les bonnes manières et ne pensait plus qu’à jouir lui-même sans tenir compte de son amante. Emoustillé par les grosses fesses qui s’agitaient sous lui, il supporta son propre poids sur un bras et utilisa sa main libre pour pénétrer le petit trou de Françoise tout en la bourrant de grands coups de bite.

Il sentait monter sa sève et ses mouvements devinrent de plus en plus violents. Il abandonna l’anus et s’accrocha à deux mains aux hanches de Françoise. Devinant que son frère approchait de l’orgasme, Léa vint derrière lui et caressa ses couilles pour l’aider à bien se vider . Cette caresse déclencha l’orgasme de Loïc qui , en plein délire, donna d’énormes coups de boutoir et se libéra dans le vagin soudainement resserré. Cette fois, Lucie et Léa eurent droit à la stéréo

« AAAARRGHHH » « OOOOHHHH »

Léa encourageait son frère « Vas-y mon Lolo, inonde-la, remplis-la de ton sperme » tout en continuant à la caresser pour stimuler ses derniers assauts. Après un dernier soubresaut qui l’enfonça à nouveau complètement dans la grotte liquéfiée, Loïc s’immobilisa enfin. Vidé. Il se redressa et s’assit à côté de Françoise qui elle ne réagissait plus, sonnée par ses trois orgasmes consécutifs. Il caressa gentiment le gros cul en pensant « Ca c’est un cul qui ne demande qu’à être défoncé. Faudra que j’essaye un jour! »

« Alors Lolo, tu te sens mieux maintenant? » demanda Lucie. « Elle est bonne Soise? »

« C’était très bon » répondit le garçon mais en lui-même , il pensait déjà à sa sœur et regarda d’un air un peu penaud son sexe toujours imposant mais présentement trop flasque pour servir à quoi que ce soir et encore moins à prendre une virginité.

« Pendant que tu récupères, je vais m’occuper de ta petite copine! Je parie que cela va te remettre d’aplomb » continua Lucie, toujours attentive à ne pas dévoiler le secret de leur inceste.

Et elle se tourna vers Léa et l’embrassa passionnément, se collant contre le corps de l’adolescente pour mieux peloter ses fesses. Elle ouvrit son chemisier mais ne l’ôta pas. Elle admira le soutien tout neuf que Léa avait acheté en compagnie de Tahira. Cette dernière avait été très gênée lorsque Léa lui avait demandé son avis sur cette lingerie qui mettait particulièrement ses jeunes seins en valeur ; cachant à peine les mamelons et découvrant tout le reste. Léa s’était bien demandée si le trouble de Tahira était causé par la gêne ou par le désir mais dans le cas de Lucie, la cause était entendue : elle bavait littéralement sur la poitrine de sa jeune amie. Ne se retenant plus, elle glissa sa main sous la mini-jupe de Léa et la releva, révélant son slip trop étroit . Loïc qui ne les quittait pas des yeux reconnut immédiatement le slip fraîchement lavé de sa mère et sentit immédiatement sa verge le titiller. Léa murmura à l’oreille de son amante

« Branle-moi dans mon slip ; c’est celui de ma mère et cela excite mon bouc de frère! »

« Ne me dis pas qu’il veut aussi baiser ta mère »

« Je n’en sais rien mais en tout cas, dès qu’il le voit, il bande comme un taureau »

Lucie s’exécuta avec empressement et bientôt , ses doigts avaient transformé la vulve déjà humide de la jeune fille en véritable lac dont les sécrétions humectaient le slip familial. Il n’en n’avait pas fallu plus pour rendre toute sa vigueur à Loïc qui affichait à nouveau une colossale érection. Alors que Léa approchait à grands pas de l’orgasme, Lucie interrompit ses caresses , à la grande détresse de Léa qui se voyait ainsi privée d’une salutaire jouissance.

« Je crois que le moment est venu » dit Lucie. Elle passa derrière Léa, défit son soutien-gorge et passa ses mains sous jeunes seins ainsi libérés les présentant à son frère

« Loïc, veux-tu prendre cette femme? »

« Gaaao oui » éructa le jeune homme »

« Penses-tu qu’elle a envie de toi? »

« Eeer »

« Enlève-lui ce slip! »

Loïc s’exécuta avec des mains tremblantes pendant que Lucie se déshabillait complètement.

« Couche-toi sur le lit »

Françoise se poussa pour lui laisser de la place mais ne quitta pas le lit , regardant avidement le jeune éphèbe puis le corps sculptural de la jeune fille.

« Léa, mets-toi sur lui »

Une fois Léa en position, Lucie vint tenir la verge du garçon pour la présenter à l’entrée du vagin de sa sœur puis elle dit

« OK ma chérie, à toi de jouer maintenant, tu vis tes derniers instants de vierge »

Avec un peu d’appréhension, escort bursa Léa abaissa son sexe jusqu’à ce que l’énorme gland occupe toute l’entrée de sa vulve puis, respirant un grand coup, elle s’empala sur la verge monstrueusement enflée. Elle sentit une légère impression de déchirement, un peu douloureuse mais surtout une impression de plénitude totale lorsque le gland vint buter tout au fond de son vagin.

« Je n’y crois pas » s’exclama Lucie, tu as réussi à l’enfoncer entièrement dans ta chatte! »

Comme si c’était un signal, Loïc poussa un gémissement aigu et Léa s’exclama « Il jouit, il m’envoie son foutre dans ma chatte. Ah, c’est bon, donne-moi tout mon amour! »

Mais à la surprise de Lucie, Loïc commença des mouvement de va et vient comme si il n’avait pas encore joui ; empoignant les hanches de sa sœur pour accentuer l’amplitude des pénétrations.

« Ooh , c’est super, c’est mieux que tout » s’exclama Léa et Lucie vint l’embrasser et lui peloter les seins tandis que Françoise encourageait Loïc en promenant ses mamelons sur le visage du garçon. Les hanches de Léa s’animèrent d’elles-mêmes sans avoir besoin de l’aide des mains de son frère et elle accéléra le rythme du coït. Elle haletait et répétait des « c’est bon » entrecoupés de « ooh » et de « aah » . Elle se mit à trembler comme une feuille et cria « Lolo je t’aime, tu me fais jouir AAAAHHHH! TROP BON! AAARRGGHH!»

Elle s’abattit sur le torse de son frère qui l’enlaça en lui murmurant « tu à moi Léa ma lionne, tu es à moi! ». dans une semi-hébétude, elle lui répondit « oui je suis à toi ; rien qu’à toi ». Elle avait à la fois l’impression que son corps était envahi par un alien qui lui occupait le ventre comme dans le film mais aussi et au contraire qu’elle était enfin complète et qu’un vide intérieur avait été enfin comblé — et bien comblé.

Loïc les fit basculer jusqu’à ce qu’il se retrouve au-dessus de sa sœur dans la position classique du missionnaire et se mit aussitôt à la baiser à nouveau. Léa , bien qu’encore peu réceptive, lui entoura les reins de ses jambes pour encourager la verge à la pénétrer à fond, heureuse de sentir l’énorme mandrin se mouvoir en elle et l’emplir toute.

Pendant ce temps, Lucie avait ouvert un tiroir de la descente de lit et en avait sorti un long gode avec un gland à chaque extrémité et elle s’était précipité vers Françoise. Les deux femmes s’étaient entremêlés les jambes pour mettre leurs cons en vis-à-vis puis Lucie avait introduit une extrémité dans chaque vagin. Elle faisait maintenant aller et venir la partie centrale tantôt vers l’une , tantôt vers l’autre tandis qu’elle s’astiquait le bouton imitée par Françoise. Lucie qui n’avait pas encore connu d’orgasme était incroyablement excitée par tous les accouplements auxquels elle avait assisté. Elle jouit presque tout de suite mais Françoise prit le relais avec le double gode et continua la double pénétration sans tenir compte des protestations de son amie. Elle la connaissait trop bien et savait qu’elle était multi-orgasmique . Elle pariait qu’elle la rattraperait bientôt sur un sommet d’excitation . Elle essayait de l’attendre mais la vue et les onomatopées de plaisir des deux jeunes gens à leur côté l’amenait rapidement vers l’extase.

L’incestueux accouplement du frère et de la sœur était devenu somptueux. Les coups de reins de Loïc avaient une telle amplitude que son long sexe sortait quasiment du vagin de Léa à chaque prise d’élan et les retours ressemblaient à un marteau-pilon de chair essayant de la traverser de part en part et pourtant Léa l’encourageait en poussant sur ses fesses de ses pieds noués dans son dos.

Les « humpf » et les « aah » s’étaient succédés jusqu’ici, marquant le rythme de leur montée commune vers le plaisir mais Loïc finit par souffler d’une voix rauque « Ma lionne, je vais jouir » « Oooh oui mon lion, viens, je t’attends, VIENS! » Et dans un ultime rugissement, Loïc se déversa dans le vagin contracté de sa sœur dont les jambes écrasèrent ses reins de toute la force de ses jambes de sportive pendant que ses ongles lui déchiraient le dos sans qu’elle soit capable d’encore proférer le moindre son.

Perdu dans une brume de félicité, il entendit vaguement deux voix hurler de plaisir puis chercha le repos, vautré sur les seins de son aimée.

Ils restèrent un long moment ainsi, leur désir momentanément assouvi jusqu’à ce que Lucie vienne les embrasser à tour de rôle en leur murmurant « vous étiez — non vous êtes — magnifiques mes enfants » . Puis taquine, elle caressa les fesses du garçon et redescendit par-dessous pour s’emparer de la verge flasque mais à sa grande surprise, elle ne la trouva pas . Elle chercha plus loin et finit par la trouver toujours fichée dans la vulve de Léa. Plus molle que d’habitude mais toujours assez érigée pour ne pas être expulsée.

Elle avait soif et décida d’aller cher une bouteille d’eau et des verres pour tout le monde mais quand elle revint , elle regretta de ne pas être restée.

Françoise te Léa avaient entamé un 69 avec Françoise en-dessous. Loïc se caressait lentement tandis que son braquemart reprenait ses dimensions de combat et pendant que Lucie posait la bouteille et les verres, il se positionna derrière sa sœur et la pénétra avec autant d’ardeur que lorsqu’il l’avait dépucelée.

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