Nisan 25, 2024

Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 15 bis

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Big Tits

Chapitre 15 – Une cabane au Canada !

Acte 1 – Pelouse interdite !

Je suis en train de buller dans le jacuzzi depuis pratiquement une bonne heure à me remémorer, pour votre plus grand plaisir j’espère, quelques-uns des moments marquants de ces derniers mois. Il y a quelques jours j’ai aménagé chez Paul pour passer, à temps plein, les deux derniers mois de notre relation. Je n’ai eu à emporter que ma trousse de toilette, le dressing-room qu’il m’a attribué est plein à craquer de tenues et lingeries en tous genres !

L’annonce, il y a quelques semaines, de cette nouvelle, de ces vacances imprévues si particulières, m’a fait enrager ! Deux mois sans copines, sans sorties, sans bronzette à la plage, sans soirées endiablées … la longue liste de mes frustrations s’est allongée à vue d’œil et il n’en fallait pas autant pour que je sorte ma tenue de syndicaliste ! Remontée comme jamais, j’ai argué dans tous les sens pendant une bonne quinzaine de minutes à faire passer Philippe Martinez pour un béni-oui-oui !

Mes revendications sont vite tombées à l’eau quand il m’a simplement fait observer que c’était inscrit dans son fichu contrat, au paragraphe sept ! Un de ceux, sur la seconde page, parcourue rapidement du regard lors de la signature ! Il est vrai que je n’avais pas trop la tête aux détails à ce moment-là et que je n’ai pas pris la peine de remettre le nez dedans depuis !

Les conséquences se sont ensuite accumulées ! Une petite négociation incontournable avec mon boss pour poser quelques congés sans solde, j’avais déjà bien pioché dans la réserve ! J’ai bien senti que mon manque d’anticipation l’avait un peu agacé même si l’été est une période assez calme pour ma boite. Cela a sommes toute arrangé l’une de mes collègues, qui à mi-temps comme moi, en a profité pour récupérer quelques heures. Je ne vous parle même pas du trek que je leur ai vendu pour justifier cette si longue absence ! J’ai servi la même soupe à mes amies, certaines n’ont cependant pas manqué de relever que cela sentait la virée amoureuse avec mon étalon secret à des kilomètres ! Lize, tout particulièrement qui m’a bombardé de texto pendant plusieurs jours pour me tirer les vers du nez. Je n’ai pas craqué ! J’ai laissé courir les suppositions et elles se sont sûrement faites des films à tout va !

– La petite femelle fait trempette … tu n’oublieras pas de ranger ta chambre, la femme de ménage passe vers 11h.

J’ai l’impression d’être une véritable ado avec lui par moment !

– Vous ne pourriez pas changer de sobriquet de temps en temps? Ça devient lourdingue à la longue.

– Je vais y réfléchir, mais si tu portais ton collier de chienne plus souvent je me souviendrais plus facilement de ton prénom, rigole-t-il !

Une occasion ratée de fermer ma bouche, je glisse tout doucement dans le bain de bulle en lui tirant la langue pour mettre ma tête sous l’eau et échapper à son regard moqueur !

—–

Un bref coup de sonnette, une porte qui claque et l’arrivée d’une petite tornade dans le salon !

– Salut la compagnie, clame l’arrivante. Il est à croquer ton nouveau petit cul Paul, commente-t-elle en me découvrant, aucunement étonnée de découvrir une femme à poil chez son employeur !

– Ton café t’attend sur la table Émilie.

Elle enfile d’une traite le breuvage préparé à son attention et enquille à la suite, en seulement deux bouchées, le gros muffin à la framboise qui l’accompagne. Sans plus attendre, elle va récupérer un aspirateur dans le placard de l’entrée et attaque par ma chambre. Il faut débarrasser le plancher au risque de se faire happer par cette mégère endiablée !

Mais que je vous décrive un peu le personnage. Elle fait presque une tête de plus que moi, le début d’une quarantaine épanouie, bien en chair sans être vraiment grosse, avec une poitrine lourde et généreuse à faire pâlir d’envie la dernière star de Russ Meyer, le chignon déjà en bataille malgré l’heure peu avancée, le maquillage aux abonnés absents et une robe à fleurs tout droit sortie des années 70 que je qualifierais de … je vais m’abstenir sur ce coup-là.

Nous entamons notre repas au rythme des mélodies qu’elle fredonne sans s’interrompre en donnant ses coups de chiffon. Elle est très branchée chanson française, mais pas des plus récentes, c’est une vraie réclame pour Nostalgie ! Elle ne chante pas si mal que ça en plus, juste le timbre un peu bas qui a dû mal à monter dans les aigus sans que ça pique un peu les oreilles !

D’ailleurs, en parlant de repas, il faut quand même que je vous annonce que mes acquis sociaux ont évolué chez Paul, mon postérieur a enfin le droit de goûter au confort de ses sièges … à l’exception … du repas forcément, où ma posture de potiche, debout à portée de sa main, est toujours de mise. Il adore me caresser les fesses et j’ai fini par prendre sur moi pour m’habituer à cette fonction d’objet !

Mis dehors par une serpillière impétueuse qui ne laisse pas de place à la contradiction, nous Escort Esenyurt prenons le dessert à l’ombre d’un parasol déporté xxl gris clair qui couvre une bonne partie de la terrasse. Le jardin attenant, que je devrai plutôt qualifier de petit parc vu sa taille, est entouré en grande majorité de pins. Avec un style plutôt à l’anglaise, sa végétation est luxuriante, très colorée et son gazon digne d’un fairway d’Augusta ou de St Andrews. Il est assez arboré, avec un petit coin d’eau où s’ébattent batraciens en tout genre, décorés par trois ou quatre pièces d’art. Deux d’entre elles, aux formes d’échassiers imaginaires, doivent provenir de l’atelier de Christophe, un artisan du village dont je reconnais la touche de sculpteur de métal ! Comme vous pouvez le constater, même si le terme est un peu excessif, ma cage est dorée ! Je vous en reparlerais plus tard.

Depuis le début de mon séjour il a remplacé le rituel de la pause méditation par celui du café gourmand, mais sans mignardises cette fois ! Je prends le mien après la crème, cela m’aide à faire passer le goût ! Aujourd’hui, au terme de sa glace au coulis de framboise, il se la joue Belmondo et clame d’un style grand seigneur à mon attention, sans toutefois m’attribuer le sobriquet de “coco”, “Café, pousse-café, cigare !” Sauf qu’ici ce dernier est pour ma pomme et est à moustache !

Cette première pipe de la journée à une saveur toute particulière. Je m’attache le plus souvent à la faire durer. J’attaque par le gland, c’est mon péché mignon ce casque à pointe. Je le bisouille dans tous les sens, le tète goulûment, le mordille délicatement, le lèche, lui roule des patins passionnés d’une langue vorace, le cajole, le dorlote, le câline … Puis, lorsqu’il est aussi rouge que la trogne de l’un des poivrots du bar d’Antoine, je passe à l’étage inférieur. Je m’attelle à rendre sa hampe brillante, un peu baveuse, juste ce qu’il faut pour qu’ensuite mes lèvres puissent glisser toutes seules le long de ce mât de cocagne. Je n’arrive toujours pas, par contre, à la prendre en entier, je crois que cela sera, dixit Paul, un de mes challenges de l’été !

Puis lorsque je la sens proche de rendre les armes, je descends au sous-sol m’occuper de ses valseuses que je gobe délicatement et fais rouler dans ma bouche entre deux coups de langue. Je m’amuse avec le temps de faire redescendre la pression accumulée. Son chibre bat souvent la mesure contre mon front à cette occasion ! Je repars ensuite vers les sommets en parcourant toute sa verge avec la pointe de ma menteuse, m’attardant à titiller sa grosse veine bleue, salivant certaines parties devenues arides.

Pour refaire connaissance avec ce chauve à col roulé délaissé depuis quelques minutes, je m’attache à en redessiner les contours d’une langue gourmande. Je flâne sur le frein et l’agace à en faire frémir tout son chibre. Puis j’enfourne à nouveau une partie de sa hampe dans mon bec, serre légèrement les lèvres et la fais glisser avec fougue en ponctuant de quelques aspirations bien placées !

Sans utiliser les méthodes de la douche écossaise, il faut savoir pratiquer l’art de l’alternance, c’est essentiel dans toute turlutte parfaitement exécutée. C’est un savant dosage qu’il faut appliquer pour éviter toute fausse manœuvre aux conséquences irrémédiables. Quoi de pire qu’une éjaculation trop précoce ou encore une peine à jouir que vous n’arrivez pas à combler ! Pour celle de Paul, je la pousse dans ces derniers retranchements, la fais dépasser ses limites, joue avec ses émotions et ses états d’âme … jusqu’à ce que, parfois, il me bloque la tête sur sa verge, signe que la récréation est finie et qu’il veut m’attribuer ma récompense !

Le terme est certes encore inadapté, car même si avec la pratique excessive de ces derniers temps, je me suis habituée au goût du foutre, sans toutefois courir après, son fumet et sa consistance ne rentrent toujours pas dans mes mets favoris ! Je recueille cependant consciencieusement son abondante semence et ouvre en grand mon clapet pour lui montrer le résultat. J’attends ensuite qu’il m’autorise à avaler, ce qui prend parfois un peu de temps, ce fourbe en joue, puis lui tire la langue, non pas en guise de moquerie, même si des fois j’en aurai envie (!), mais pour qu’il contrôle mon parfait avalage !

J’ai souvent le temps d’atteindre l’orgasme moi aussi, sauf avant-hier où ce salaud ne m’y a pas autorisé ! Une nouvelle lubie ce besoin de contrôler mes petits plaisirs, il va encore falloir que je sorte les pancartes pour réclamer mon droit à l’expression ! J’ai traîné comme un boulet cette envie toute l’après-midi, surtout qu’il s’est attaché à ne pas la laisser retomber ! Il a dû supporter ma mauvaise humeur pour la peine, car ce n’est qu’en début de soirée que j’ai pu me libérer en chevauchant sa queue sur le canapé et où j’ai explosé deux fois presque à suivre !

Un quart d’heure après le début de ma gâterie notre tornade fait enfin une pause et nous rejoint avec, entre les mains, une gigantesque assiette de salade Esenyurt Escort Bayan hawaïenne que Paul lui a concoctée. Nullement choquée de me voir en pleine action, elle entame sa montagne d’un coup de fourchette vigoureux. Elle note, entre deux bouchées, ma technique, commente mes courbes ou encore les anneaux fixés à mes tétons. Malgré son papotage incessant, il ne lui faut pas longtemps pour venir à bout de sa plâtrée. Cette fois c’est moi qui ai retenu mes doigts pour ne pas jouir devant cette femme de ménage !

– Tu sais qu’Émilie est bi? Son mari aussi d’ailleurs, ce qui ne les empêche pas d’être ensemble depuis une vingtaine d’années ! me précise Paul après avoir rangé son attirail de premier ordre.

Qu’est-ce qu’il veut que ça me fasse, je ne passerai pas mes vacances avec eux !

– C’est beau un couple qui dure, noté-je, diplomate.

Je n’ai rien contre en soi, chacun trouve son bonheur où il veut. Prenez Lucille par exemple, elle est bi également et pleinement épanouie, c’est ça qui compte. Perso aller tester la qualité du gazon de mes consœurs ce n’est pas mon truc, je laisse ça pour les puristes, les motivées de la pelouse, les déçues du braquemart, les désenchantées du marteau à deux boules. Bref je passe mon tour !

– Cela ne te tenterait d’essayer?

– Avec une femme? Que nenni, je respecte Jean Ferrat, et confirme que le poète à toujours raison, la femme est l’avenir de l’homme !

– Qu’en sais-tu réellement si tu ne t’es jamais aventurée dans ce type de relation?

– Mes convictions me suffisent, je n’ai pas d’attirance pour cet autre sexe.

– Émilie te mange des yeux depuis qu’elle est arrivée, ça serait vraiment dommage de ne pas en profiter, tu ne crois pas?

Je regarde l’intéressée pétrifiée par l’idée d’aller découvrir ce que cache cette culotte fuchsia entre aperçue tout à l’heure. Cela faisait un petit moment que Paul ne m’avait proposé une pratique cochée en rouge sur ma liste des interdits. Je sais pertinemment que je n’y couperai pas, mais je veux me laisser l’illusion d’échapper à ce piège qui est en train de se refermer en douceur. Paul est un fin négociateur qui utilise parfois des méandres insoupçonnés pour arriver à ses fins. Mais je sais pertinemment que, même si elle n’a pas servi depuis des lustres, l’argumentaire de la badine viendra clore les débats si je fais ma forte tête !

– Emmène là dans ta chambre, et tiens, je vous accompagne comme ça tu te sentiras moins seule.

Je ronchonne encore un peu pour la forme, sous le regard amusé de l’intéressé qui se délecte de ce ping-pong, et finis par me résoudre à les précéder dans mon antre. Tout juste arrivée, ma ménagère de moins de cinquante ans ne s’embarrasse pas de préambule et entame de déshabiller. Ses mamelles sont vraiment impressionnantes, je passe pour une prépubère à ces côtés ! Elle défait les restes de son chignon, s’allonge sur le lit, écarte les jambes, ramène ses pieds légèrement vers elle pour nous permettre d’entrevoir son centre à plaisir et laisse Paul animer les débats.

– Alors qu’en dis-tu? Prêtes pour l’aventure?

Comment lui dire simplement que j’ai plus envie de partir en courant que de m’attabler devant son tablier de sapeur. Elle n’est pas moche, elle aurait même du charme avec quelques kilos de moins, mais avec ces dessous-de-bras négligés, cette fourrure imposante, cette épilation en rade et ces émanations douteuses ma motivation est au plus bas ! Paul m’attrape la fesse gauche et me pousse sans ménagement sur le lit. Je me retrouve en quelques secondes le nez à une vingtaine de centimètres de ce gazon maudit. Et pas un seul Chabat à l’horizon pour me venir en aide ! Bande de lâches !

– J’ai bien senti que tu avais besoin d’un coup de main pour franchir le cap, rigole-t-il ! en venant s’agenouiller à mes côtés.

Je ne me résous pas à fourrer mon nez dans ces poils, cette immense forêt vierge qui s’offre à moi n’a jamais dû voir le moindre rasoir de sa vie. Elle est trop dense, trop drue, trop intense pour s’y aventurer sans un équipement adapté. En écartant du bout des doigts la broussaille, je découvre des lèvres charnues et épaisses et le renflement d’un clito qui me semble également de belle facture. Une senteur de sous bois moyennement entretenu me saute au visage, la paysanne à l’entrejambe qui transpire après ces heures de ménages, le musc percutant et ravageur !

Moi qui suis une adepte de Nicolas Hulot, toujours prête à m’engager pour sauver la nature et garder intact notre planète, je constate amèrement que la déforestation a parfois du bon ! Elle devrait être conseillée, voire imposée dans ces cas extrêmes où la survie de l’espèce, la mienne en particulier (!), en dépend.

Mesdames, soyez civilisées, entretenez-vous la chagatte ! Je ne parle pas ici de faire table rase et de présenter un minou aussi glabre que le crâne d’Obispo comme il est de mode actuellement. Mais je vous en conjure dégrossissez au moins la zone, égalisez le cresson, laissez-vous aller parfois à Esenyurt Escort un peu de fantaisie en taillant ce maquis de manière originale, faites-vous la case trésor accueillante pour qu’aucune langue envieuse de votre plaisir ne rebrousse chemin ! Messieurs, je vous vois sourire, alors qu’il serait bon de partager ce conseil à votre entretien parfois un peu léger !

Devant mon indécision et ma contemplation dégoûtée, Paul prend en main la situation, pour, avec la sienne, m’appuyer sur la tête et me coller le nez contre ce sexe répugnant ! Il ne me lâche pas, je gigote et me démène tant bien que mal pour tenter de me libérer de son emprise et de cette mangrove qui m’étouffe. Impossible d’y échapper, sa main est ferme et après quelques minutes, quand il sent ma combativité retombée, mes efforts s’affaiblir et me voit résignée à mon sort, il relâche un peu l’impression. Il me fait comprendre, à la manière d’un Jack Sparrow d’opérette, qu’il est temps de m’employer à donner vie à cette forêt vierge.

– À l’abordage ! Regarde comme elle est accueillante et qu’elle te sourit, me précise-t-il en parlant de cette chatte toute luisante !

Je tente quelques coups de langue de-ci de-là sans vraiment m’attarder ni approfondir mon exploration de ces contrées hostiles. Une attitude rapidement considérée comme trop sage par leur vile propriétaire. Elle m’écarte, se relève en râlant après moi, mon incompétence linguistique et mon manque d’envie d’acquérir les bases du dialecte lesbien.

– Elle n’est pas très douée ta gamine, on va changer la donne pour l’aider un peu. Allonge-toi sur le dos, m’incite-t-elle en me tirant par les bras.

Étonnamment soucieuse de mon confort, elle glisse l’un de mes oreillers sous ma tête. Puis, apparemment satisfaite de ma nouvelle position, elle m’enfourche et viens s’accroupir sur ma poitrine. Elle prend le temps de me caresser la joue et les cheveux en me mordillant le lobe de l’oreille et en me léchant le cou. De mon côté, je tente, sans résultat probant, de soulever un peu ses fesses rebondies pour retrouver un brin d’oxygène !

– Tu vas voir, c’est bien moins agréable comme ça, mais tellement efficace !

Et, sans plus attendre, pour me montrer de quoi elle parle, elle s’avance pour positionner son sexe au-dessus de ma tête ! La vision de cette chatte en approche en serait presque cauchemardesque. J’ai la tête coincée entre ses cuisses, les bras bloqués par ses jambes et son minou qui vient s’écraser contre ma figure, claustrophobe s’abstenir !

Elle a la cramouille abondante la bougresse, les glandes à cyprine qui turbinent plein gaz, elle m’en tartine le visage avec ses petits coups de bassin. Elle s’acharne à frotter son entre-jambes contre ma bouche, s’arrête parfois sur mon nez pour l’enfouir dans ses imposantes lèvres et me faire découvrir toute la puissance de ses odeurs intimes. Lorsqu’elle se relève légèrement pour que ma langue puisse prendre le relais, j’en profite pour effectuer une grande respiration et redonner ainsi un peu d’autonomie à mes poumons avant la prochaine plongée. Car, comme vous pouvez le constater, je suis depuis un bon moment à vingt mille lieux sous mémère !

Mes anneaux l’attirent et elles en usent souvent pour soulever mes seins pour me motiver, me traitant de tous les mots, fustigeant l’inexpérience de ma langue trop discrète à son goût. J’enrage, j’ai envie de lui faire sentir mes crocs, de faire de son clito un martyr à la cause des plaisirs, de laisser d’une canine discrète ma marque sur l’une de ses lèvres charnues. Toute à mes délires de turpitudes, je ne m’aperçois pas de suite qu’elle monte en pression. Ses coups de hanche s’accélèrent, elle ne se contrôle plus, souffle à tout va et commence à grogner. Ses frottements s’intensifient au fur et à mesure de l’approche de son panard et lorsqu’elle explose et me submerge de mouille, ses cuisses m’écrasent les tempes comme un étau ! Elle serait presque femme fontaine en plus cette conne !

Quand enfin elle me redonne un peu de liberté de mouvement, j’ai les oreilles qui sifflent, la tête qui tourne et je peine à reprendre mon souffle. Cette mouilleuse hors pair continue de vagir encore un peu les yeux fermés. Elle étale son surplus de jouissance sur mon menton et pince mes tétons avant de me libérer complètement.

– Tu lèches vraiment trop mal ! Il va falloir que je fasse ton éducation. Ne t’essuie petite gourde, m’intime-t-elle en me bloquant le bras, tu ne te laveras que ce soir, avant de te coucher. Tu garderas un peu mon odeur comme ça ! Une vraie senteur de femme, ça te changera du tahiti douche ! Et pour que tu puisses goûter à l’essence même de mes effluves, je crois que je ne me laverai pas lundi prochain avant de venir. Peut-être dégotteras tu quelques restes de mes amours maritaux de la vielle, le foutre séché doit avoir une saveur bien particulière lorsqu’il est dégusté le lendemain !

Je tourne la tête, écœurée par ses propos et par l’avenir qu’elle me réserve. Paul a profité de nos ébats pour s’éclipser, le lâche. Je l’aurai étripé de m’imposer ça et avec un couteau à poisson en prime pour faire durer le plaisir ! Tout en devisant la main d’Émilie descend jusqu’à mon sexe et me notifie par un long pincement sur mon clito de lui en laisser l’accès libre.

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