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Révélée par sa grossesse
Tous les personnages de cette histoire sont d’âge adulte.
Il se passa plusieurs jours sans que j’aie de nouvelles de celui qui avait si complètement bouleversé ma vie. De ce vieil homme, mais peu m’importait désormais son âge, qui avait décuplé mes chaleurs de femme enceinte tout en éveillant en moi un besoin de soumission que je ne m’étais jamais connu.
Je commençais à penser qu’il s’était trompé en s’illusionnant sur la possibilité de trouver par l’intermédiaire d’internet des hommes intéressés par sa proposition de voir une femme enceinte de sept mois offerte à leurs envies. J’en étais à la fois profondément soulagée, prise que j’étais d’une inquiétude sourde devant un saut dans l’inconnu dont je ne pouvais savoir sur quoi il allait déboucher… et secrètement déçue au fond de moi-même, tant j’en étais arrivée à fondre littéralement, ma petite culotte instantanément trempée à l’idée d’être labourée sans ménagement comme un simple objet de plaisir par le sexe vigoureux d’un mâle en rut excité par ma grossesse avancée.
Quelques jours plus tard cependant, le téléphone sonna alors que mon mari venait tout juste de partir pour son travail. C’était Lui. Sans doute avait-il vu à l’instant passer la voiture de Jérôme devant sa boutique et sa femme était-elle absente ou occupée dans une partie reculée de la maison, toujours est-il que j’avais à peine décroché l’appareil que je l’entendis m’annoncer d’une vois triomphante :
« Bingo, salope! J’ai un client pour toi! Et un bon! Il crèche à une trentaine de kilomètres d’ici et il peut venir chez toi dans l’après-midi en semaine quand sa bourgeoise est chez leur fille encloque de sept mois comme toi. Vu les horaires de boulot de ton cocu, ça ne devrait pas te poser trop de problèmes de lui ouvrir tes cuisses, hein petite chienne?
-N… non, ai-je cru bon de répondre.
– C’était pas une question! Tu te tais quand je parle! Je continue. Il a soixante-cinq ans et tu as l’âge de sa fille à un an près, tu vois le topo et les fantasmes du trabzon escort gars… Pour l’exciter, je me suis fait passer pour ton père et quand je lui ai dit que tu te branlais toujours plus au fur et à mesure que tu attendais de mettre bas, jusqu’à quatre fois par jour, il est devenu comme dingue. Il m’a demandé si ça me gênait que tu l’appelles Papa et naturellement je lui ai répondu que non.
« Même si tu es le premier à me demander ça », je lui ai dit en le tutoyant. Ça crée des liens, les petits arrangements… C’est la vérité, hein, qu’il était le premier, mais vu la façon dont je lui ai déballé ça, il a cru que je te faisais baiser régulièrement. Ça, c’est pour bientôt, hein, petite pute, la mise au turbin, mais j’avais pas de raison de le rencarder. »
Je n’osais plus l’interrompre, tant je le sentais prendre de « plaisir à m’humilier ainsi.
« Toujours est-il qu’il fantasme depuis longtemps sur sa fille, le salaud. Il l’imagine toujours la main au con, comme toi, depuis le jour où il l’a vue se toucher dans son jardin, étendue robe troussée étendue sur une chaise-longue la culotte descendue sur les cuisses. Il était passé chez elle sans prévenir et elle se croyait seule. Au dernier moment, elle a vu qu’il était là à la regarder et elle a eu beau remonter sa culotte fissa et se rajuster en vitesse, depuis elle rougit comme une pivoine chaque fois qu’ils se voient.
Sa femme croit comme une cruche que c’est parce qu’elle est encloque qu’elle pique un fard comme ça devant son père. Une réaction incontrôlée, qu’elle peut pas expliquer, comme les envies de fraises ou de chocolat pour les femelles dans cet état-là. Tu parles, si elle connaissait leur petit secret à ces deux là, et si elle savait que chaque fois que son étalon la monte, c’est en fantasme dans la chagatte de leur fille qu’il gicle… »
Ces mots obscènes me mettaient au supplice et en même temps faisaient éclore dans mon bas-ventre une chaleur contre laquelle je ne pouvais rien.
Il continua :
*Quand il m’a tunceli escort dit ça, j’ai failli juter. J’en bande encore rien que d’y penser. Il faut dire à propos de bander que j’ai de quoi : je vais joindre l’utile à l’agréable comme on dit… Tu sais sur quoi on s’est mis d’accord lui et moi, salope? Le jour de sa venue, avant d’aller sonner chez sa gentille nouvelle petite fifille et une fois le gentil petit mari parti au boulot, il passera à l’épicerie me glisser discrètement ma petite enveloppe. ça te fait quoi de devoir faire la pute pour moi, petite branleuse de mon cœur? Il devrait te téléphoner d’ici cet après-midi pour te fixer son rencart, je lui ai laissé ton numéro en lui disant bien de te joindre aux heures de bureau de ton cocu. »
Et c’est en ricanant qu’il poursuivit :
« Tu vois que moi aussi je tiens à la discrétion… eh eh… à la discrétion et à mes petits bénéfices… Je parie à cent contre un que tu mouilles en ce moment, hein, là? Je n’aurai pas raccroché depuis trente secondes que tu auras déjà la main dans la culotte à te trifouiller la moule en pensant à tout ça, hein? Tu es où, là?
-Je… dans la cuisine, j’allais faire la vaisselle…
-Eh ben elle attendra, la vaisselle… Allez, commence! Ce sera la combientième fois aujourd’hui?
-La… la troisième…
-Hum… Tu es vraiment plus qu’accro, salope! M…! Ma femme arrive, je raccroche! Tu fais ça debout!»
Je suffoquais, submergée par toutes les nouvelles qu’il venait de m’annoncer : d’abord et surtout bien sûr en pensant au coup de téléphone que mon « client » (mon premier client!) allait me passer l’après-midi même (j’en avais le cœur qui battait à tout rompre, palpitant de crainte et de honte mêlées), mais aussi la relation trouble qui liait le père à sa fille, (oh, cet aveu que c’était dans son vagin qu’il jouissait en fantasme lorsqu’il faisait l’amour à sa femme!), la similitude de nos situations à toutes deux et du degré d’avancement de nos grossesses parallèles… (la pensée que nous uşak escort avions peut-être été prises elle et moi le même jour me faisait frissonner).
Si j’ajoutais à cela notre addiction commune à la masturbation (est-ce que c’était pour elle aussi le fait d’être enceinte qui avait qui avait déclenché son envie, je devrai peut-être dire comme pour moi son obsession?), l’ordre qui venait de m’être donné de me toucher (et même si je n’avais certes aucun besoin qu’on me l’ordonne, le fait d’y être obligée m’électrisait), tout cela me rendait folle et c’est frénétiquement que ma main pénétrait ma fente ruisselante sous mon ventre proéminent.
Je venais à peine d’atteindre l’orgasme debout appuyée contre la cuisinière et je reprenais mon souffle à grand peine quand le téléphone sonna à nouveau. Mon cœur bondit, battant à grands coups désordonnés et c’est en tremblant que je décrochai.
Au bout du fil se fit entendre une voix nasillarde :
« Bonjour ma chérie, je ne te dérange pas au moins?
-N… non Papa, balbutié-je.
-Tu m’as l’air un peu essoufflée, là. Tu n’étais pas en train de… te faire du bien, dis-moi? »
Je n’osai répondre. Il poursuivit devant mon silence :
« Je m’en doutais. Petite coquine, va…
Dis-moi, ça ne te dérange pas si je passe chez toi dans dix minutes? J’ai dû venir en ville aujourd’hui… »
Et il ajouta :
« Eric rentre bien à six heures, n’est-ce pas? » Un instant le crus à une méprise, puis je compris que le jeu continuait, pervers, et qu’Eric était le nom de son gendre.
« Ou… oui Papa », dis-je, pensant très fort, dans un subit accès de honte, que Jérôme, lui, n’était pas un Eric fantasmé. Le rôle que j’étais obligée de tenir devenait de plus en plus dégradant. J’allais devoir me livrer à un « père » fantasmeur qui croyait que c’était mon père réel qui me prostituait!
Et c’est à cet instant précis, alors que je m’y attendais le moins, que l’image de mon véritable géniteur me traversa en flash… La mémoire enfouie, refoulée, de certains de ses gestes me revint soudain, me coupant le souffle… Je revis tout à coup comme si le temps avait été aboli les fessées qu’il me donnait au retour de l’école, sous un prétexte ou un autre et toujours en l’absence de ma mère… Oh mon Dieu!
(à suivre si le lecteur est intéressé…)
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